En attendant le début...du commencement.... [ouvert à tous]

En attendant le début...du commencement....

Camat est assise sur une sorte de pouf en cuir marron,elle est en train de méditer.

Tout à coup une silhouette se rapproche et ose troubler cet instant de recueillement...


[voili à vous la suite, qui donc va arriver le premier ?]

Un homme en armure de combat rouge entra et regarda autour de lui. Il tenait son casque sous son bras et se grattait la barbe. Apparemment il ne trouvait pas ce qu'il cherchait. Il était surtout intrigué par cette femme qui dormait en position assise sur un pouf. Il avait jamais rien vu de pareil. Des endroits étranges pour dormir il connaissait, comme dormir dans les arbres ou des les véhicules de transport mais assis sur un pouf non. Il s'approcha de Camat Et lui tapota sur l'épaule.

Heu excusez moi de vous réveiller mais vous savez où se trouve la bibliothèque?

Il regarda autour de lui et revint à Camat.

Mais vous faites comment pour dormir dans cette position?

Camat s'étira longuement devant son interlocuteur un peu désorienté.

Bonjour, enfin de la visite! Alors pour dormir s'est simple, j'attends d'être fatiguée, mais alors très très très fatiguée. Puis je m'assoie sur ce pouf et hop tout d'un coup je dors. Etonnant non?

Sinon je crois bien que vous ne trouverez jamais votre bibliothèque. En effet cela va faire deux jours que je suis bloqué dans cette pièce avec aucune sortie. La porte laisse seulement entrer. Maintenant que j'ai de la compagnie on va pouvoir jouer à CHI FOU MI....Vous connaissez ?

En effet la porte ne fonctionnait que dans un sens... Quel futur aventurier allait elle nous amener ?

Glebnar regarda un instant Clamat.

Non ce que je voulais dire c'est que.... ba laissez tomber. On est bloqué vous dites? Hmm je sens que je vais encore finir au trou après ça.

Il approcha de la porte et essaya de l'ouvrir. Il s'y repris à plusieurs fois essayant de pousser, tirer, lever et baisser la porte. Il n'avait aucun explosif sur lui donc il ne pourrait pas faire sauter la porte et puis le souffle risquerait de le tuer. Il regarda son arme peut être qu'en tirant dessus il pourrait faire un trou. Il recula, arma son fusil puis tira plusieurs salves. Tout les tirs furent absorbé par la porte. Il regarda son arme puis la jeta de coté. Il revint à la porte et fit courir ses mains dessus.

C'est quoi comme matière? j'ai pas l'impression qu'il y ait un champ de force. Si je pouvait rapporter un échantillon ça m'éviterai surement le trou.

Il retourna prés de Camat et se laissa tomber au sol.

Vous êtes arrivé comment la dedans vous?

Au moment où Glebnar se laissa tomber au sol un pouf apparu sous ses fesses.

J'étais en train de mener une grande quête. Vous savez celles dont on ne reviens jamais sans en être transformé, sans y avoir laissé une part de soi-même. Bref je cherchais les toilettes, hum hum.

Et donc j'ai fini ici mais ce qui est marrant c'est que je n'ai plus envie, je n'ai ni soif ni faim, comme si le temps faisait une pause.
Je loue vos tentatives d'ouverture mais croyez moi, pour le moment rien à faire qu'attendre.

D'ailleurs en attendant notre prochain invité, que cherchiez vous à la bibliothèque. Attention si vous me répondez juste un livre je boude.

non non non n'avancez pas!!! rhaa trop tard. Bon on est repartit pour un tour. On est bloqué dans cette salle qui ne s'ouvre que de l'extérieur.

Glebnar regarda le nouveau venu de la tête aux pieds. Une bure, un air frustré, et surtout un sabre laser, de grandes chance qu'il soit jedi.

Essayez votre cure dent sur la porte on sait jamais. elle semble absorber l'énergie cependant.

Il reporta son attention sur Camat.


Officiellement, donc pour mon officier, je cherchais de la doc pour ma prochaine mission de reconnaissance. Officieusement, je cherchais un exemplaire du "jour des Banthas", un de mes congénère a trouvé intelligente de s'en servir pour allumer un feu.

STOP !! hurla Camat.

Mais trop tard, Alfadir avait franchit cette satanée porte qui se referma aussitot.

Et bien je crois que nous allons avoir un troisième pouf. Camat se repris juste à temps. Euh non maitre je ne parlai pas de vous. Voyez vous nous sommes coincés dans cette pièce. Et je crains fortement que vous le soyez vous aussi maintenant.

Camat expliqua avec Glebnar ce qui se passait dans ce lieux. Le questionnement sur la matière de la porte et cette mystérieuse théorie des poufs. Elle ne pouvait également ressentir la Force.

J'espère maitre que vous avez lu "jour des Banthas", je crois que ça va intéresser quelqu'un ici.

Je crois que se disputer ne servirait à rien. Attendons et réfléchissons à la meilleur façon de nous sortir de là.

Camat invita le maitre Jedi à s'assoir sur un troisième pouf apparu au moment où les deux mâles de service mesuraient leur égo.

Allez je propose de lancer des paris. Je mise 100 crédits que le prochain à se faire avoir sera une prochaine. Une fille donc. Qui tient le pari ?

Glebnar se pencha vers Camat et parla à voix basse.

Et bien il est pas commode le sorcier. Et il est devin avec ça, il sait que quelque chose ne marche pas sans essayer.

Il se redressa ensuite et parla à voix haute.

Laissez vous tomber où vous voulez vieil homme, un pouf se matérialisera sous vous.
Pour en revenir au jour des banthas, c'est en fait la suite de les banthas. En fait, l'auteur nous fait vivre la vie d'un bantha quelque peu personnifié. On y voit ses pensées, sa vie dans son troupeau, sa place par rapport aux autres. Et ce bantha est un jour envoyé avec un groupe de jeunes banthas pour trouver ceux qui les chasses. Enfin voilà, je voulais connaitre la suite. C'est peut être juste un roman mais l'auteur a vraiment fait des recherches sur les banthas pour reproduire le plus fidèlement possible leur vie.

Il se tourna vers le vieux jedi.

Et vous au fait, comment vous etes vous retrouvé ici.?

(rha t'es trop rapide)

"Moi ? J’ai entendu des coups de feu, et le principe des Jedi est de protéger ceux qui le mérite. Vous devez le savoir. Excusez ma froideur, je ne suis pas très expressif, et certaine phrase peuvent alors sembler méprisante alors que ce n’est pas le cas.

Passionnante histoire...

Mais un Jedi doit faire preuve de patience. Même si être patient signifie apprendre a souffrir en silence. Inutile de s’emballer. Pour vous faire plaisir je vais essayer..."

Il se redirigea vers la porte, et alluma son sabre. Frappa trois fois mais le medium utilisé semblant repousser la lame tel un aimant repoussant son opposé.

"Et bien vous voyez...

En ce qui consterne le pari ? Non. Je ne joue pas... la chance n’existe pas."

Vraiment drôle d'idée que d'écrire sur les Banthas. M'enfin sil il y des gens pour le lire, pourquoi pas. J'aurais preferé sur des animaux marin.

Merci maitre pour votre démonstration, comme vous le pensez si bien la patience fait partie de notre apprentissage. Et ici je pense que cet apprentissage risque d'être long.

Je pense qu'il faut se pencher sur le pourquoi nous ? Il ne doit pas y avoir de hasard. Deux adeptes de la Force et ... disons ...euh .....je ne trouve pas mes mots..... on va dire un non adepte. Peut être est-ce lui la solution ? Ou pas !

Camat retourne s'assoir sur son pouf. En passant elle marmonne à Glebnar : Ça s'appelle la classe et en plus il est plus fort que nous donc , ne pas contrarier le vieux.

Zhey longeait les murs et les couloirs du bâtiment.

*Trouver la carte de la galaxie dans les archives, comme si je n'avais que ça à faire moi.*

Le lieutenant fulminait contre son supérieur qui utilisait ses compétences à faire le livreur. Fou de rage il poussa violemment une porte et entra dans une pièce. Des gens étaient déjà là, parfait, il était perdu.

"Enfin du monde, je suis perdu dans cet endroit de malheur, vous pouvez me dire où se trouvent les archives ?"

Des pas résonnaient dans un long couloire. Un homme avançait le regard perdu dans cet immense bâtiment. Son pas était nonchalant, ses vêtements mal mis et ses cheveux en pétard. Vahamon semblait particulièrement préoccupé. Le chemin que le vieillard lui avait indiqué n’était toujours pas apparu devant ses yeux.

Vahamon : « Vous trouverez des escaliers au bout du couloire, monter et tournez à droite, vous trouverez une porte… Vieux menteur, j’ai toujours pas trouver d’escalier, ni de porte… »

Vahamon était plus qu’agacé par la situation dans la quel il se trouvait. Il avait l’impression de ne pas avancer. Les murs ne changeaient jamais, pas de tableaux, pas de portes, pas de fenêtres, ni rien qui ne puissent lui indiquer une éventuelle direction. Il se mit à distinguer au loin une petite fente. Il se rapprocha d’un pas plus rapide et arriva devant une porte. La commande actionnant la porte était au milieu et chanceux comme il est, Vahamon ne poussa pas la porte dans le bon sens et s’écrasa le nez car il avait essayé d’avancer en même temps. Vaha’ venait de s’aplatir le nez contre le métal froid de la porte et voilà qu’il sentait une dans se balader librement dans la bouche… Décidément, ce n’était pas son jour. Il repoussa la porte, ce coup si dans le bon sens et vit quatre personnes. Un homme bizarrement habillé ainsi qu’une jeune demoiselle étaient assis sur des poufs tendis que la troisième personne et la quatrième étaient toujours debout. L’une des deux personne tenait une torche à plasma dans la main tendit que l’autre ne ressemblait à rien de ce que connaissait vaha’. Vahamon entra, se servant de sa bave pour essayer de remettre ses cheveux d’aplomb. Le porte se referma d’elle-même derrière lui sans même qu’il ne s’en rende compte…

Vahamon : « Chavez vous où esche che que che peux trouver le bureau du chuge ? »

Vahamon retira sa dent et la mis dans sa poche pour pouvoir mieux articuler…

Vahamon : « Savez vous où est ce que je peux trouver le bureau du juge ? »

Hey c'est pas parce que je suis pas sorcier que j'ai moins de valeur. Vos tour de passe passe ne semblent pas plus efficace ici que mon entrainement ou mes armes.
Pour sortir d'ici il n'y a pas 20 solutions, il faut patienter à coté de la porte ou faire du bruit pour attirer quelqu'un et bondir hors de la salle dés que quelqu'un veut entrer. Même si un seul d'entre nous arrive à sortir il pourra toujours ouvrir aux autres.

Il secoua la tête et se gratta la barbe. Quand il se leva son pouf disparu. Il alla chercher son arme et se laissa tomber face à la porte. Alors qu'il atterrissait sur un pouf, quelqu'un ouvrit la porte. La surprise le déséquilibra et il se retrouva les quatre fers en l'air. Pour compléter le tableau, le casque qu'il tenait s'envolla et lui retomba sur le nez.

Tout d'un coup un grand bruit surprend le trio qui était en train de méditer sur leur sort.

Quelle entré vous nous avez fait là. Mais je crois que vous ne pourrez hélas pas faire de sortie aussi fracassante.

Est-ce quelqu'un peut lui expliquer là ? Parce que moi je sens que je commence à ressentir comme une espèce de lassitude.

Et bien nous y voilà, enfin un peu d'action. Mais en tout cas je ne veux pas voir la taille de son pouf à lui.

L'affreuse bête analyse que sommairement la situation trop pressée de se faire un joli festin. Cinq personnes à déguster, ça ne se refuse pas.

Camat prend son sabre laser en main.

Alors les enfants je vous attends.

Glebnar se releva avec difficulté, tenant son nez en sang. Sa vision était un peu embrumée. Il regarda le rancor mais ne réagit pas au danger. Il se massa une de ses tempes de sa main valide. Il parlait d'une voix nasillarde.

Je doit avoir plus grave qu'un nez fracturé, je vois un rancor. Quelqu'un est médecin? je dois avoir un traumatisme crânien.

Il regarda autour de lui et vit que tout le monde fixait le rancor qui n'était finalement pas si imaginaire que ça. Il remit son casque avec un grognement car celui-ci lui compressait le nez. Apparemment son nez avait amortit la chute du casque qui n'avait aucun dysfonctionnement. Il le va son arme vers le rancor et se trouva bien ridicule. Il n'avait que son fusil d'éclaireur contre une des créatures les plus terrible de la galaxie. Il aurait pu taper dessus à main nue que ça n'aurait pas changer grand chose.

Dites moi que vous avez un détonateur thermique ou un véhicule d'assaut dans vos poches. Je crois pas que mon fusil soit suffisant.

Glebnar arma tout de même son fusil et tira vers la bouche de la bête. il espérait que la peau soit plus tendre par là.

Rylen passait par là, en train de lire un livre, tête baissée. Il ne voyait pas où il marchait, il allait donc n'importe-où, jusqu'à rentrer dans la fameuse pièce où la porte ne s'ouvre que de l'extérieur.

*Facisnant ce livre qui raconte la vie des Rancors, j'aimerais bien en rencontrer un* pensait-il en oubliant ce qu'il était venu faire ici.

D'un coup, un liquide gluant et chaud vint s'installer sur l'épaule du jeune homme. En levant la tête petit à petit, il commença par voir les quelques personnes installaient dans la pièce, puis la chose qu'ils admiraient tant: le rancor! Effrayé, Rylen se dépêcha de se mettre derrière les autres, puis d'attendre..

Salut lieutenant, je vous aurai bien expliqué mais je pense que nous allons être un peu occupé. D'ailleurs allez vous rester derrière ou nous venir à nos cotés pour nous montrer vos talents ?

On entend le son du fusil de Glebnar retentir dans la pièce avec un éclair rouge. Camat est prête à saisir l'occasion pour attaquer le rancor au niveau du bras. Profitant de la réussit ou non du tir de son partenaire d'infortune.

Mais avant lieutenant je vous autorise à vous essuyer car, disons, la bave de rancor ça ne sent pas la fleur de Naboo!!

-Quesque je vais dire à mes supérieurs moi, ca fait je ne sais pas combien de fois que je suis revenu à la l'académie avec mon équipement détérioré! Au revoir les entraînements, bonjour les corvées...

Rylen prit son blaster et tira plusieurs fois au niveau de la jambe, puis il feuilleta quelques secondes son bouquin sur les rancors, avant d'avoir remarqué quelque chose.

-Faut pas qu'il reste devant la porte sinon on pourra plus partir de la salle.

C'est à ce moment précis qu'Arvel entra dans la salle par...une fenêtre? Une canne en main car aux dernières vacances, il s'est foulé la cheville gauche sur les pistes d'aéroski de Hoth. Le bruit de la canne au sol raisonne légèrement, et tout en avançant, il prend ses médicamments pour la douleur, ce qui a pour effet de le shooter légèrement...mais bon, il commence à avoir l'habitude.
Bizarrement, il a entendu qu'on demandait un médecin pour un traumatisme cranien. Arvel s'approche de Glebnar, le regarde deux seconde et dit en repartant par la fenêtre pour s'en aller:

Faites scanner, IRM, ponction lombaire pour infection et pression intracranienne, mettez-le dans une pièce stérille puis menez-le au bloc, je vais l'opérer des pieds. Et amusez-vous bien.

Arvel sort par la fenêtre.

Tant de choses s'étaient passées en si peu de temps. Un Rancor apparut d'on ne sait où avec une justification sublime qui allait parfaitement avec le contexte. Voyant que les poufs apparaissaient quand quelqu'un se laissait tomber il eut une idée quelque peu osée.

Mais avant d'avoir dit quoi que ce soit un second lieutenant entrait dans la salle. Un membre des commandos d'après son uniforme, il était l'homme de la situation ! Ou pas finalement. Le lieutenant qui aurait dû les sortir de ce mauvais alla se cacher derrière les autres. Les officiers n'étaient plus ce qu'ils furent jadis, montrant la voie à leurs hommes, leur rendant la foie et le courage.

Quant au général en chef, le patron, le commandant suprême, qui entra, l'air de rien, recommandant à l'homme au nez casser un passage au bloc ainsi que d'autres choses aux noms compliqués puis ressortit, Zhey le prit pour un mirage avant de reprendre ses esprits.

Enfin bref, la merveilleuse idée, le plan de géni, allait être révélé à cette bande de guerriers en herbe. Car l'utilisation de l'environnement était souvent peut utilisée sur les simulateurs de base, seuls les plus sophistiqués disposés de cette technologie très utile pour simuler certaines missions ou situations risquées, celle-ci en était une.

"Bon, ok. Pour vaincre ce rancor nous devons... le faire tomber ! S'il tombe un énorme pouf viendra amortir sa chute et il aura du mal à se relever, pendant ce temps nous n'aurons qu'à l'achever. Quelques lasers dans la gueule ou une lame dans le fond de sa gorge devraient suffire à lui faire rendre son dernier souffle. Le problème et de le faire tomber. Pour cela, nous pouvons faire apparaitre quelques poufs puis l'attirer vers nous. Qu'en dites-vous ?"

Toujours ce même ton calme et posé, voire même rieur. Cette situation ne semblait pas effrayer l'égorgeur qui, dans le pire des cas, rejoindrais l'endroit qui le faisait tant rêver, l'au-delà. Mais avant de le rejoindre, il fallait en envoyer le plus possible dans cet endroit, et ce rancor allait le rejoindre !