Julia Lïch

Nom : Lïch
Prénom : Julia
Âge : 15 ans
Race : Humaine
Sexe : Féminin
Planète d'origine : Coruscant

Langues parlé : Basic, Bothan, Wookie (comprend mais ne parle pas)
Ordre : Jedi
Rang : Padawan

Description physique :

Durant toutes les années de sa vie, Julia n'a pas souvent gardé la même apparence. Cela dépendait souvent de son humeur. Seule la forme svelte et musclée de son corps n'a pas changé. Elle fait environ un mètre soixante, blanche de peau et des magnifiques yeux verts. A l'origine ses cheveux sont d'un brun net, et très discret. Aujourd'hui, sa chevelure n'a plus rien de discrète. D'un roux flamboyant, ses cheveux tombent négligemment sur ses épaules. Son caractère rebelle s'adoucit néanmoins avec sa voie. Certes elle peut être tranchante et froide, mais rien ne peut cacher ce magnifique accent de la haute société Coruscanti qui sort de ses lèvres fine.

Autre signe de dédain pour l'Ordre, elle n'a jamais la bure traditionnel des Jedi. Cela s'explique aussi par le premier souvenir de l'un d'eux, venant l'arracher à sa famille. Elle s'habille très souvent en combinaison noir, moulant quelques peu ses formes, et lui laissant les bras à découvert, augmentant ainsi sa souplesse lors d'un combat au sabrelaser. Une simple ceinture marron sur laquelle elle accroche son sabrelaser à lame d'un pur argent, et depuis quelques temps, un holster dans lequel est rangé un pistolet blaster KYD-21
Elle est agile, rapide et forte. Rare sont ceux parmi ses connaissances qui ignorent que l'énerver n'est jamais bon.

Description mentale :

Quel est le qualificatif de Julia Lïch ? Cela dépend à qui vous le demandez.
Pour certains, Julia n'est pas une, mais "la" peste et chieuse par excellence. Pour d'autre, cette même Julia n'est autre que la meilleure amie du monde. Cela étant, elle est les deux à la fois. Elle est renfermée et narcissique. Elle n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds et répond au quart de tour. Elle n'a jamais eu la langue dans sa bouche. Elle peut être irrespectueuse, froide et insupportable. Ce caractère a sans doute un lien avec son effleurement du Côté Obscur alors qu'elle était jeune.

Mais elle est aussi très charmante avec ses amis. Bien qu'elle est toujours eu un caractère assez rebelle, son charisme et son sourire quelques peu espiègle en impressionnait plus d'un. De même que sa maitrise du sabrelaser. Elle a toujours aimé peaufiner son maniement, ce qui reflète une partie de sa tenue vestimentaire : elle aime le combat.
Sous toute ses formes. Elle agit directement sur le terrain. Calculatrice et directe. Elle n'aime pas perdre de temps en bavardage. Julia sait repérer le point faible d'un adversaire et l'exploiter. Elle sait aussi foncer dans le tas, comme dit l'expression.

La perte de son Maître l'a cependant quelques peu perturbée. Mais elle n'en parlera pas, ce n'est pas dans sa nature.

Histoire :

Des images... troublantes flottent dans ma tête. Elles envahissent mon esprit, le plus souvent dans mon sommeil. Ce sont des visages. Il y a une femme, brune. Très belle. Un homme aux cheveux noirs comme l'espace avec un sourire charmeur. Même si quelques rides commencent à apparaitre à côté de ses yeux, il est encore assez jeune. Et puis il y a un garçon. Pas encore adolescent, il doit avoir six ans tout au plus.
C'est ma famille, je le sais. Du moins sa l'était à l'époque où l'ordre m'a pris en son sein.
Quelque fois je me souviens de ce qu'il c'est passé ce jour là. Enfin, les dernières minutes que j'ai passées avec ma famille en accéléré.
Je dois avoir trois ans, pas plus. Je joue avec mon frère sur le lit quand une voie nous dit de venir manger. Un flash et je me retrouve dans le salon. Les couverts sont déjà prêts sur la grande table. Mes parents sont installés ainsi que mon frère. Moi c'est une bonne qui me porte jusqu'à une chaise. De la baie vitrée je peux voir le couché de soleil sur la planète et il est magnifique. Un autre flash. Cette fois, il fait noir nuit et je suis sur le canapé avec mon frère. Mais il y a une autre personne dans la pièce. Une personne que je ne connais pas. Il est encapuchonné et porte un ample manteau marron. Encore un flash et je me retrouve dans ma chambre, toujours avec mon frère. Il me sert contre lui essayant de faire taire mes larmes. Puis la porte s'ouvre et l'homme entre nous enveloppant avec son ombre. Mon frère ce lève et ce place juste devant moi...
Et c'est toujours à cet instant que je me réveille en sursaut. Transpirant quelques fois. Et même si c'est toujours le même rêve, il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits.
A l'époque, je ne devais certainement pas savoir quel était ce sixième sens qui me criait de rester loin, très loin de cette personne. Aujourd'hui je sais que c'est la Force. Pour le bien que sa m'a fait...

Journal personnel de Julia, trois heures après le coup d'Etat.

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Je me nomme Julia de mon prénom. Il paraitrait que Lïch soit mon véritable nom de famille, mais rien n'est sûr. Ce dont je suis sure, c'est d'être née sur Coruscant, fille d'une riche famille. Je suis au Temple Jedi depuis que je dois avoir trois ans, ou quelque chose comme sa. Je n'ai pas vraiment de souvenir d'avant. Certaines personnes me disent "instable". Il est vrai que mon caractère... bien à moi, m'a quelques fois posés problème. Je suis sarcastique, narcissique et parfois même colérique. Mais je déteste simplement que l'on me marche sur les pieds. Dès ma jeunesse j'étais une vrai "chieuse" à proprement parler. J'avais autant d'amis que d'ennemis, mais j'aimais bien ma vie comme cela.
Cependant, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi l'Ordre m'a recruté. Enfin, mon taux de midi-chlorien est légèrement plus bas que la moyenne, et mon esprit quelque peut rebelle ne joue pas en ma faveur. Mais si je n'étais pas celle qui maitrisait au mieux la Force, il y avait un domaine ou j'étais vraiment douée : le combat. Ma maitrise du combat au sabrelaser a toujours été quelques peu supérieure que la majorité des Padawans de mon âge. Les duels d'entrainement organisé par les Maitres, jamais je n'en ai perdu un. Ce qui entrainait certainement la jalousie chez certains Padawans. Moi-même j'étais quelques peu jalouse de ceux qui maitrisaient la Force mieux que moi.

A sept ans, lors d'un duel avec une fille, nous avions failli nous tuer mutuellement. Sa maitrise de la Force bien supérieur à la mienne, mais la surpassant au corps à corps, elle avait décidé de m'épuiser le plus longtemps possible. Elle me projetait des vagues de Force, quelques objets parfois, et lorsque je m'approchais trop près d'elle, elle sautait à l'autre bout de la salle. Au bout d'une dizaine de minutes de ce petit jeu, nous commentions à nous charrier. Je ne sais pas le nombre de minutes qui c'est écoulée avant que les insultes ne sortent de nos bouche. Tout ce que je me souviens, c'est qu'elle ne m’avait plus envoyé des statues, mais toute une volée de sabrelaser des spectateurs qu'elle activa en plein vol grâce à la Force. Si mes réflexes n'auraient pas été si rapides, ou si j'aurais été moins agile de quelques centimètres, je serais morte aujourd'hui. Ceci m'a rendu folle de rage, littéralement. A cet instant je ne voulais qu'une chose : qu'elle ressente la sensation d'une lame de plasma à quelques centimètres de sa gorge. Ce léger effleurement vers le Côté Obscur a tout rendu possible. En quelques secondes, la fille était au sol, le bout de ma lame à quelques millimètres de son front. Si les Maîtres ne m'avaient pas retenue, elle serait morte aujourd'hui.
Il paraitrait que j'ai changé après cette journée. Je suis devenue plus solitaire, plus renfermée. C'est sans doute vrai. A l'époque ma chevelure brune était attaché, alors que quelques jours après ce duel, mes cheveux étaient tint en un roux foudroyant et tombaient négligemment sur mes épaules. Mon regard c'était fait dur, ma voix tranchante. Peu à peu, les règles les plus élémentaires du Temple Jedi ne s'appliquaient plus à moi. Alors quand six mois plus tard, un Maître Jedi m'a pris sous son aile, je ne savais plus quoi pensée. J'étais totalement perdue et cet homme m'a guidé.
Au début je lui répondais avec méchanceté, grossièreté et certainement pas avec respect. Mais jamais il n'a abandonné, ne m'a crié dessus ou me dénoncé aux Maître du Conseil pour mon irrespect envers, lui et l'Ordre Jedi. Il ce contentait de m'écouter lorsque je criais, avant d'hocher la tête quand j'avais finis. Il me parlait calmement, m'expliquant le pourquoi et le comment des choses. Je dois dire que sa avait le don de m'énerver, surtout au début. Je faisais tout pour qu'il me renvoie, et je ne réussissais même pas sa. Finalement, au fur et à mesure des choses, je me suis calmé. Mon tempérament c'est adoucis, et mois plus tard ma chevelure avait repris sa couleur naturelle, ma voix était redevenu douce et les éclairs de glace partant de mon regard avait disparut. A huit ans, j'étais en fin en paix avec moi-même.

C'est durant cette période que Deladrier monta en puissance avant d'entamer une guerre plusieurs années plus tard contre la République... ou du moins ce qu'il en restait. J'étais avec mon Maître, sur une station spatiale en orbite d'une planète ayant un gigantesque problème de contrebande. Nous sommes restés trois jours sur la station, au cours desquels nous avons appris que c'était l'un des politiciens les plus influant de la planète qui profitait de la contrebande d'armes et d'épice pour s'en mettre plein les poches. Rien de très spécial finalement. Et alors que la réunion du quatrième jour allait commencer, les soldats de la Garde Civile de la planète en poste sur la station retournèrent tout à coup leurs armes contre nous. Mon instinct me guida de sortir mon arme alors que les premiers tirs commençaient à fuser. Mon Maître et moi nous nous étions regroupés, parant les tirs de laser avec nos lames. Finalement après que l'entrainement ait pris le pas sur la surprise, nous sommes passés à l'attaque. Les quelques soldats sous-entraînés ne firent pas le poids, et en quelques secondes tout était finis. Du moins c'est ce que je m'étais autorisé à penser durant les brefs secondes de calme. Nous avons rapidement entendu des bruits de pas résonnant dans l'étroit couloir qui menait à la salle, juste avant que huit autres soldats pointent leurs armes sur nous. Cette fois nous n'avons pas attendu qu'ils tirent les premiers pour passer à l'attaque. Notre but était simple : sortir d'ici, vivant de préférence. On ce frayait un chemin à coup de sabre, nos lames bleu et argent tournoyant tout autour de nous. Puis des secousses ce firent ressentir sur toute la station. Des explosions nous projetant à terre. Pour nous éliminer, la flotte sortait la grosse artillerie. La station ne tint pas longtemps avant de perdre ces principaux générateurs de bouclier, puis un choc avec une carcasse de croiseur la déplaça de son orbite. Collé à une cloison par la force d'inertie, je ne pouvais que voir la station tombée, tombée et tombée. Toujours de plus en plus vite, les détails de la planète ce distinguait de plus en plus nettement. J'étais totalement paralysé, ne savant plus quoi faire. Puis une voie cria mon nom, me sortant de ma torpeur. Ma tête tourna vers mon Maître qui me ramena brusquement vers lui avec la Force. Je passai à travers les cadavres en armure avant d'arriver aux pieds de mon Maître, totalement ailleurs et ce fut sa gifle qui me fit reprendre mes esprits.
Je ne sais pas si c'est la chance ou la Force qui nous a permis d'arriver vivant aux hangars, évitant les explosions et autre carcasse de métal qui volaient un peu partout. Je ne sais pas si c'est la chance ou la Force qui a permis qu'un vaisseau soit encore en état de voler, alors que tout à côté de lui n'était que ruine fumante. Je ne sais pas si c'est la Force ou la chance qui a voulu que la rampe d'accès soit ouverte, que nous avons réussis à faire décoller ce vaisseau avant que le hangar nous tombe dessus. Je ne sais pas si la Force a le sens de l'humour pour nous avoir gardé en état un vaisseau de contrebande, nous qui étions venu pour y stopper le trafic. En revanche, je sais que ce sont les talents de mon Maître qui nous ont permis d'échapper aux chasseurs Républicains... nos chasseurs.

Durant les jours qui suivirent, nous avions reçus un message venant d'un ami de mon Maître sur Coruscant : la République n'était plus, les Jedi exilés. Sentant que quelque chose allait de travers, nous nous sommes rendu sur Coruscant en transport après avoir rejoint une planète dans le cargo de contrebande. Habillé en touriste nous sommes allez jusqu'au Temple Jedi. Du moins ce qui avait autrefois été le Temple Jedi. Des cadavres de soldat étaient sur le sol et on sentait que quelque chose avait changé sur la capitale. Nous avons découvert le mystère dans un bar où le patron faisait passer l'HoloNet 24h/24. La magnifique République avait cédé la place à un Empire. Dirigé par l'homme fort de la capitale depuis quelques temps : le Général Deladrier. Cela prenait tout son sens. Les soldats étaient équipés d'armure sur la station. Ce pourrait-il que tous ceux qui en porte soient à la solde du Général ? Mais maintenant, nous devions quitter Coruscant pour ne jamais y revenir. Les Jedi étaient pourchassé, et il était temps pour nous de nous cacher. Et leur meilleur endroit pour cela était, est et restera la Lune des Contrebandiers : Nar Shadaa. Malheureusement, tout ne c'est pas vraiment passé comme prévue. Dans l'astroport, les Forces de Sécurité de Coruscant nous prirent en embuscade. Je crois qu'ils nous avaient repéré depuis le Temple, car vu la puissance de feu qu’ils déferlèrent contre nous, ils n'étaient pas en patrouille. Mon Maître fut tué alors qu'il protégeait des civils de tirs venant des étages. Il ne vit pas, ou décida d'ignorer les deux roquettes tirés dans son dos. L'onde de choc m'envoya voler dix mètres plus loin, complètement sonnée. Mon mentor avait disparut dans la Force, et je me forçai à ne pas regarder dans la direction de sa dernière position. Je sprinta, plus vite que je ne l'avais jamais fait, laissant la Force me guidé. Je ne sais plus exactement comment j'ai réussis à atteindre un vaisseau qui décollait. Toujours est-il que dans sa soute, plusieurs chasseurs N-1 étaient alignés. Alors je me suis servie. Une fois assez loin de l'atmosphère de Coruscant, j'ai tiré deux coups de laser, faisant un trou béant dans la coque avant de m'y engouffré dans mon chasseur tout neuf. Quinze secondes plus tard, j'étais en hyperespace.

Je ne sais pas du tout où je vais sortir d'hyperespace. Tout ce que je veux maintenant, c'est trouvé des explications logique à tout ce qu'il vient de ce passé.

Je valide ta "petite" fiche

On va faire un bon duo chipie !