Fiche d'Edwin Til-illan

( et re, re, re belote c'est partit pour la troisième fois^^)





prénom:
Je m'appelle Edwin,

Nom:
mon nom est Til-illan,

Age:
j'ai 20 ans,

sexe:
je suis de sexe masculin,

Race:
et de race humaine.

Physique:
Je mesure entre 1m50 et 1m60 et je porte un ensemble de vêtement en cuir noir usé (pantalon et haut en cuir), torse nu sous mes vêtement.
Je suis mince et musclé, large d'epaule je degage une impression d'assurance.
je possède des yeux noirs cachés derrière de long cheveux argentés et j'affiche une attitude nonchalante difficile à comprendre pour qui ne me connais pas.
Je porte un holster en travers dos pour tenir mes armes.
Une grande cicatrice parcourt en zigagant mon dos de la hanche droite a l'épaule gauche.

Spoiler:

Mental:
A la fois introverti et extroverti, j'essaye de comprendre les autres;
psychologue sur les bords, j’essaye ensuite de les aider de mon mieux.
Pour moi une vie est une vie mais j'ai tendance à vite oublier mes valeurs dès que suis énervé, ce qui n'arrive heureusement pas souvent car je suis de nature très calme et je prend tout du bon coté, il vaut mieux d'ailleurs.
Ma plus grande peur est de ne plus pouvoir bouger librement, cela pousse la claustrophobie dans ses derniers retranchements.
je n'ai pas de bêtes noire a part peut être une légère peur de me retrouver devant un rancor, par contre j'adore les gizka

Je les trouve si mignons, si adorable

J’aime la tranquillité car pour moi l’énervement, l’excitation excessive sont mauvais pour la santé car:
l’excitation et l’énervement sont des dérèglements internes et contribuent à ces dérèglements, fait monter la tension (sanguine et énergétique) et dérèglent les réseaux énergétiques.

je n'aime pas la violence gratuite, l’énervement et l'excitation excessive.
(HRP) pour les raisons citées ci-dessus (HRP)

Métier/Rang:
a voir

Groupe/Faction:
je ne vais pas cacher que je suis plutôt pro républicain

Histoire:
Malheureusement le peu de mon histoire que je connais, je vous l'ai raconté juste avant, mais bon je vais vous conter ce qu'il m'est arrivé depuis là où je me souviens.

L'odeur acre des excréments fut la première chose dont je pris conscience. La seconde fut la douleur : insupportable, nouant le moindre de mes muscle. J’essayais de m'en arracher, de me diriger vers la lumière que j'entrevoyais, mais, trop faible, je m'enfonçait en tournoyant dans les ténèbres et je découvrit qu'elle aussi étaient taillées dans la souffrance.

Mon rêve revint me tourmenter une fois encore. Je me trouvais dans une pièce étroite, un bébé dans les bras. Deux enfants se tenaient près du feu ; deux fillettes aux cheveux d'or et aux joues roses qui me souriaient. La porte s'ouvrit et quelque chose scintilla sur le seuil. L’éclat de l'apparition éclipsa la lueur du feux mais pas sa chaleur. En tendant la main vers elle, je laissais échapper le bébé. Je franchi la porte qui se referma derrière moi. La vision s’enfuit, se réduisant à une tête d'épingle à l'horizon, je me retournais vers la porte. Mais cette dernière refusait de s'ouvrir. En dépit de tous mes efforts, j’étais incapable de retourner à l'intérieur auprès des enfants. De désespoir je me jetais sur la porte; mon corps se heurta à un roc.

Je m’éveillai en sursaut, un filet sueur aux coins de la bouche. Un air inhabituel emplissait mes poumons. Je pris peur. Moi qui m’étais accoutumé à ma cellule me voyais maintenant privé du maigre réconfort de la familiarité.

Quand m'avait-on relâché? Je me rappelait a peine la dernière fois que j'avais senti la froide caresse de l'eau contre mes lèvres. Cependant, un détail se présenta avec clarté a mon esprit, mon nom : edwin. Je m'appelait Edwin til-illan - mais ce ne pouvait être tout: j’avais forcement eut un passé. En moi remonta un vague souvenir sur lequel je m'efforçais de me concentrer, en vain; impossible de se rappeler. J’étais seulement Edwin, qu'on avait emprisonné et qui se retrouvait libre.

J’obligea mon esprit a regagner le présent et fit un bref tour d'horizon: je gisait, seul, au milieu d'une rue sombre entre deux grands bâtiments s'étendant loin vers le ciel "je dois me trouver sur coruscant" me dis-je.

Je commençais à marcher au hasard quand un brigand me tomba dessus.
Il était armé d'une lame courte et de tout son orgueil, alors que moi je n’avais rien.
Je le laissait attaquer en premier, il visa ma main droite tendue en avant et par un vieux réflexe d'origine inconnue (par moi) j'avançai je pied gauche en amenant ma main droite bloquer le poignet de mon adversaire, ensuite ma main gauche prit la position de ma main droite verrouillant fermement son bras. a ce moment nous sommes épaule contre épaule et regardant dans la même direction, poussant un peut mon coude contre le sien l'obligeant a pivoter et a perdre l'équilibre je basculait brusquement en avant ce qui le projeta a genoux au sol ,mais je tenait toujours son poignet et pivotant sur ma jambe gauche pour me retrouver face a lui ,ses doigt pointée derrière lui je poussait vers son dos ,dos sur lequel il retrouva allongé ,je tournait autour de lui pour l'obliger a se mettre sur le ventre , je descendit son bras et lui fit une sévère clé de bras pour qu'il lâche son arme puis je continuait la torsion jusqu'à que ses articulation soient sur le point de craquer ,au contraire de ses nerfs qui avaient déjà craqué depuis longtemps et il me supplia de le laisser partir, ce que je fit, mais je gardait la lame courte puis je me dirigea vers la sortie de la rue en me demandant ce qu'était ce mouvement que j'avais fait.
Le mot echani me vint tout seul.

C’est sur cette question que je me dirigeai vers la lumière et une nouvelle vie.

Me voila abandonné au milieu d'un endroit que je ne connais pas.
Après quelque temps je fit le topo sur la situation présente : seul mon nom m'était connu et mon passé ne me revenais que par bribes disséminés dans mon inconscient, je ne possédait rien.

Quelques temps après je découvris l'étendu des changements: il semblait qu'un groupuscule, l'Alliance, avait pris le pouvoir a l'encontre des jedi et il ne me fallut pas longtemps pour faire le rapprochement avec mes geôliers bien que je ne voyait pas vraiment ce que je venait faire dans cette histoire.
Par la suite grâce à d'interminables discutions j'appris au détour d'une phrase qu'un groupe a décidé de s'opposer à l'Alliance.

Mon choix eut donc été vite fait : j'allais les rejoindre!

C'est ainsi que je me suis retrouvé sur Ord Mantell jeune, frais, rempli de rêves et légèrement naïf.